vendredi, janvier 14, 2011

Blanchard Jean, le liquidateur qui corrompt les juge fait aussi dans la pire infamie qui soit: la spoliation des handicapés. Vraiment avec la scp Ballaloud Alladel, ils font bien la paire.


POUR
Monsieur Ghirardini Ivano
Gérant de la sarl Trabbets Créations
Zac des trabets 74310 Les Houches
Domicilié : 19 avenue Balard
04600 Saint Auban

CONTRE
Maître Blanchard Jean
Mandataire Judiciaire
20 bvd du Lycée,
74000 Annecy

Réf : 2010F01218 -1995RJ8477
Audience du 22 Octobre 2010

Fait à Saint Auban le 21 octobre 2010.
à :
Monsieur le Président du Tribunal de Commerce d’Annecy,
Madame le Procureur de la République,
Monsieur le Procureur Général


Monsieur le Président,
Madame le Procureur,
Mesdames et Messieurs les Juges,

Le soussigné Ivano Ghirardini, gérant de la sarl Trabbets Créations, a l’honneur de vous exposer les éléments suivants :

1.      Cette société crée en 1982 était une véritable start up qui multipliait par quatre son chiffre d’affaire de 1982 (sa création) à 1986 (premier de gestion des entreprises de Haute Savoie, Chambre des Métiers-Socama), chaque année. Cela s’explique par la très forte notoriété de Monsieur Ghirardini comme alpiniste, ses talents de conseiller technique industrie chez Eider et Lafuma et sa créativité, les schizoïdes paranoïdes ont des dons sur ce plan là et ce,  même s’ils sont très gravement handicapés dans d’autres domaines.

2.      En l’absence de traitement approprié et de soutien par un médecin psychiatre, les schizoïdes paranoïdes sont incapable de se défendre et son toujours ressentis comme un « danger » là où ils se trouvent car ils développent toujours des comportements « originaux » qui peuvent fortement déranger des populations composées à 99% de personnes non schizoïdes, puisqu’il s’agit d’une différence et non d’une maladie puisque les traitements peuvent juste rendre vivable cette différence mais pas guérir. Entre les « sorcières » brûlées vives dont Jeanne, ou les condamnations à mort de schizoïdes comme Jésus ou Socrate, il ne manque pas d’exemple dans l’histoire pour expliquer de tels rejets et la question est toujours d’actualité comme le montre ces « liquidations » judiciaires.


3.      Les schizoïdes paranoïdes sont capable d’une grande créativité, comme le montre la première trilogie hivernale solitaire des trois plus célèbre face nord des Alpes réussie au cours de l’hiver 1977-1978 par Ivano Ghirardini, guide de haute montagne. Cette trilogie réussie par un alpiniste étranger au « milieu » chamoniard a entrainé deux contrefaçons fort préjudiciables aux activités de la sarl Trabbets Créations. La première est celle de Christophe Profit, groupe Amaury, Compagnie des guides de Chamonix, Emhm, avec un trucage héliporté, entre autres,  pour faire croire à une « première ». La seconde via Tomo Cesen, l’Ensa, le club des sports de Chamonix, le magazine Vertical, et une trilogie imaginaire de nuit, par mauvais temps, sans photos, sans témoins. Dans les deux cas, à grand renforts de médias, il s’agissait de lancer des marques de vêtements concurrentes : « Compagnie des Guides » ou « Great Escapes Aventures ».


4.       Le problème c’est que dès 1986 monsieur Ghirardini a été victime de tentatives d’élimination. On peut noter que toutes ces tentatives d’élimination ou de liquidation ont été faites pendant les passages de la droite au pouvoir de 1986 à 1988, de 1993 à 1997, à partir de 2002, avec utilisation des moyens de l’état. Cela a commencé par des troubles de voisinages orchestrés par le commissariat de la Police de l’Air et des Frontières des Houches !!!, via une famille de portugais dont la femme était femme de ménage et plus au commissariat, des campagnes de calomnies, des pressions contre le personnel, des destructions de biens, des bris de vitrines, des cambriolages, des vols ou destructions de véhicules, des vols de matériaux de construction, des destructions de bâtiments en construction, etc…etc… Plus de 40 plaintes ont été déposées. Aucune n’a jamais été instruite ! Nous avons fait une procédure civile pour faire cesser ces troubles en 1987 et le juge Turk Michel , le même qui prononcera la liquidation, a fait un déni de justice en refusant de juger ces troubles pour les faire cesser dans une audience truquée au tribunal d’instance de Sallanches en 1987, où Maitre Ballaloud Yves était présent mais où mon avocat Maitre Gostin Dray avait été interdite d’accès. Il ne faut pas être surpris ensuite de voir ce même juge  Turk Michel me déclarer comparant à l’audience du 29 Mai 1996 alors que j’étais en prison, suite à un « aimable dossier » de la PAF des Houches,  que je n’étais même pas informé de cette audience et qu’aucune liberté provisoire pour y assister ne m’avait été accordée. Plus grave encore, nous avions alerté dans nos plaintes auprès du Procureur de la République de Bonneville, sur les activités qui nous semblaient fort suspectes de la scp Ballaloud Alladel, dont vous savez qu’ils étaient les avocats de Monsieur Flactif. J’alertais sur les risques d’assassinats possibles, un an avant le drame du Grand Bornand, en précisant qu’il fallait chercher parmi les clients ou adversaires de cette société d’avocats pour savoir qui vivait ce que je vivais, à savoir des troubles de voisinages à répétition, des menaces, des destructions de biens pour savoir qui était en danger. Je parlais de la réalité ! Les schizoïdes parlent de la réalité ! Est ce pour cela qu’ils dérangent ? Et le coté paranoïdes c’est ce qui permet non pas de se défendre mais de « survivre », c’est un mécanisme très sophistiqué et automatique d’autoprotection que les psychiatres connaissent bien.


5.      Cette liquidation n’est qu’une suite d’infractions pénales, de crimes ou tout à été dissimulé par l’absence d’instructions des plaintes déposées au début, nous y avons ensuite renoncé puisque chaque plainte était non seulement classée sans suite mais donnait droit à une vague de terrorisme administratif en représailles. Là encore nous parlons de la réalité !

6.      Les délais de plus de quatorze années pour ces liquidations aussi bien de la sarl Trabbets Créations que de ma liquidation personnelle n’ont visiblement pour but que d’assurer la prescription. Nous demandons instamment au tribunal de considérer qu’il n’existe bien qu’une seule et même action, depuis 1986 jusqu’à la date de clôture,  visant à « liquider » Monsieur Ghirardini par tous les moyens et que le délai de prescription ne commencera à courir pour l’ensemble de ces délits et crimes qu’à partir du jugement de clôture de la liquidation.

7.      Nous demandons la clôture de la liquidation de la sarl Trabbets Créations.  Maitre Blanchard ne peut invoquer l’insuffisance d’actifs puisque une offre pour solder ces liquidations avait été proposée par une banque fort sérieuse, la Banque Générale du Luxembourg. Copie ci jointe. Le patrimoine immobilier de Monsieur Ghirardini était supérieur à un million d’euros en 1999 d’après une attestation notariée confirmée par un géomètre expert de Chamonix et avait été acquis de 1982 à 1986, pendant les seules quatre années où Monsieur Ghirardini a pu exercer ses activités normalement.

8.      Vous n’êtes pas en présence d’une liquidation mais de la spoliation d’une personne gravement handicapé du fait d’une schizoïdie de type paranoïde, dont il ignorait tout, non suivie et traitée au moment des faits,  en état de fragilité et qui ne pouvait pas se défendre, juste essayer de survivre suivant cette phrase célèbre prononcée par un autre schizoïde : « Si l’on veut te prendre ta chemise, donne aussi ton manteau ».

9.      Nous Rappelons au Monsieur le Président du tribunal, à Messieurs et Mesdames les Juges, à Madame le Procureur que les psychiatres recommandent la défense par l’état des schizoïdes paranoïdes, ce que vous avez fait en nous accordant l’Aide Juridictionnelle, ce dont nous vous remercions, et il convient donc que Madame le Procureur se dise, et si tout ce qui est évoqué ici m’étais arrivé à moi et qu’elle agisse en conséquence. Je tiens toutes les pièces encore en ma possession à disposition si nécessaire.  

10.  Je suis prêt à me constituer partie civile. J’estime le préjudice qui m’a été causé à vingt cinq millions d’euros.