C'est pratique de rendre la personne handicapée que l'on veut spolier "complice" contre son gré.
Blanchard a reconnu que les propos de type paranoïde de cette personne handicapée, en état de fragilité, sont conformes à ceux constatés par le jugement du 17/02/1999, à savoir qu'ils sont :"tissus d'incohérence" et dont il reconnait avoir connaissance dans sa lettre du 11 septembre 2003.
Comment peut on demander que soit désigné comme mandataire ad'hoc une personne dont on sait très bien qu'elle est schizophrène, qu'en l'absence d'un suivi psychiatrique, elle est en incapacité de se défendre, qu'elle n'a pas conscience d'être schizoïde paranoïde, et Blanchard n'ignore rien de cela puisqu'il cite dans ses courriers le jugement du 17/02/1999 qui reconnaissent cette incapacité en parlant de "tissus d'incohérence liés à des perceptions étranges".
Le Tribunal de Grande Instance de Bonneville reconnait de ce fait, par cette ordonnance accorder systématiquement un traitement de faveur à Maitre Blanchard et lui accorder tout ce qu'il demande.