J'en pouvais vraiment plus en cette année 1988, entre ces troubles de voisinage à répétition commandités par la PAF et son inspecteur la braguette estronfer, ce contrôle fiscal qui venait de syphoner toute ma trésorerie et mettaient en danger la survie même de cette entreprise, cet expert comptable lèche cul qui siphonnait aussi, ces contrôles des douanes, de l'inspection du travail, des fraudes. Ma femme qui était partie avec le gamin car elle ne sentait plus du tout en sécurité à Chamonix. elle avait bien raison, elle risquait vraiment. Cette compagnie des guides, gmhm, ensa avec leur contrefaçon à la trilogie. Je n'avais aucun doute, j'étais en danger. Il fallait m'éliminer de cette vallée et laisser la place à la contrefaçon. Tout était orchestré et ne poursuivait qu'un seul but: me planter. D'ailleurs, l'inspecteur estronfer de la PAF et les inspecteurs des impôts l'avaient dit ouvertement: "ne vous faites aucune illusion, nous sommes là pour vous planter, et nous allons vous planter". Et d'ajouter au paroles et menaces les gestes pour vous signifier que le but c'est de vous "baiser". Vous pouvez toujours porter plainte ou faire des recours, ils s'en tapent, ce sont des illusions pour nous faire croire à un semblant état de droit. la justice est un pilier de la bête, c'est d'abord la justice de la dictature administrative et des fonctionnaires, pas celle des citoyens. et lorsque des moyens d'état sont engagés pour planter quelqu'un ou une entreprise, personne ne peut résister, faut pas rêver, la disproportion est totale. Ce qu'il me fallait faire c'était rester en vie. Je n'avais aucun doute sur le fait que ma vie même était menacée dès 1986, le début de la totale, le début de la contrefaçon avec des moyens d'état.
En juin 1988, l'Urssaf a débarqué? ils viennent souvent en dernier, ils laissent les autres préparer le terrain, eux c'est pour le coup souvent fatal, mortel. Ils ont fait semblant de regarder les comptes, les registres. La lettre recommandée est arrivée juste après, avec un redressement déjà pret, absurde, faux comme le reste, et des menaces lourdes de saisie et de liquidation. Juste après réception de cette menace écrite, c'était l'accident du travail, j'avais craqué. Cela faisait deux ans que je vivais un terrifiant enfer administratif. Je devais sans doute être plus qu'à bout mais je n'en savais rien. de toute façon, un petit patron ne peut pas être malade, ne peut pas arrêter, si non, c'est sa boite qui coule. Alors il prend sur soi et l'arc se tend de plus en plus. J'avais fini par craquer. Des amputations à la main gauche.
L'urssaf m'écrit et s'excuse...on s'est trompé...la bonne blague...
Ce qui était visé c'était l'accident mortel. Bon ils n'ont eu que des doigts cette fois là. ces excuses étaient des excuses de crocodiles. J'avais bien compris. ils voulaient me liquider, d'une façon ou d'une autre. Il fallait faire place nette pour la contrefaçon. Je devais disparaître de Chamonix. C'était en 1988. sur mon lit d'hopital, une seule question. Comment survivre ?
J'allais passer provisoirement le cap de cette totale de 1986 à 1988 grâce à super Martine, l'instit féministe. Vous trouverez l'article si dessous.