vendredi, juin 19, 2015

1990, l'affaire Cesen éclate.

Une contrefaçon de plus, mais cette fois c'est encore plus criminel que pour la première. C'est dans l'ordre des choses. Les procureurs du TGI de Bonneville n'avaient pas instruit les plaintes pour la première contrefaçon celle de Profit-Cie des guides. Des procureurs fonctionnaires qui n'allaient pas se mettre à dos les fonctionnaires de la Cie des guides de Chamonix qui cumulent public et privé et ont bidouillé les lois. Et donc les ripoux ont cherché à faire plus de fric, fort de cette impunité accordée dès 1986. L'affaire Cesen, une pure magouille made in Chamonix Mont Blanc, au départ. La pire affaire criminelle de l'histoire de l'alpinisme, une véritable hécatombe. Bravo les ripoux et les procureurs du TGI de Bonneville. Grâce à vous et à vos exploits, des dizaines de jeunes alpinistes passionnés allaient trouver une mort certaine en montagne, une montagne ou une ascension trop loin, trop dur, trop engagé. Si avec Cesen tout est faux ou presque, ces alpinismes passionnés comme Pierre Beghin par exemple, étaient eux dans la réalité.