D'après Wiki: "L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde (en anglais, Strange Case of Dr Jekyll and Mr Hyde) est un roman court écrit par Robert Louis Stevenson et publié en janvier 1886. Il s'agit d'une réécriture, le premier manuscrit ayant été détruit par Fanny Van de Grift, l'épouse de l'auteur, qui le considérait comme un « cahier plein de parfaites sottises ». L’œuvre raconte l'histoire d'un notaire, Gabriel John Utterson, qui enquête sur le lien étrange entre Edward Hyde et le docteur Henry Jekyll. Par ailleurs Robert Louis Stevenson a avoué avoir imaginé cette histoire après avoir fait un cauchemar.
Le docteur Jekyll, un philanthrope obsédé par sa double personnalité, met au point une drogue pour séparer son bon côté de son mauvais. C'est ce dernier qui, nuit après nuit, prendra finalement le dessus et le transformera en monstrueux Mister Hyde.". Le comportement de Fanny m'amuse car peut on détruire ses propres démons? Surtout si ce sont eux au final qui gagnent toujours car ils sont plus rusés et ne reculent devant rien pour arriver à leurs sinistres desseins.
Le Démon du "meilleur" alpiniste du XXe siècle.
C'est un démon habile qui a joué sur les réglementation pour nous faire croire que faire des voies normales sur des 8000m était des "exploits". C'était surtout de belles exploitations de la naîveté et de la désinformation après la période des conquêtes patriotiques des 8000m. En 2019, 43 alpinistes (40 hommes et 3 femmes) ont réussi l'ascension des quatorze « 8 000 » ; parmi eux, 19 alpinistes y sont parvenus sans jamais avoir utilisé de bouteille d'oxygène. On constate avec ces chiffres que l'exploit vendu et commercialisé au XXe siècle était exagéré dans sa présentation comme "extrême". Faire des voies normales sur ces hauts sommets tient plus parfois de la progression facile techniquement que de l'alpinisme.
L'Everest, en tibétain : ཇོ་མོ་གླང་མ, Wylie : Jo mo glang ma, THL : Jomo lang ma / Chomolungma, en népalais : सगरमाथा, Sagarmāthā, chinois simplifié : 珠穆朗玛 ; pinyin : , aussi appelé mont Everest, en anglais Mount Everest, est une montagne située dans la chaîne de l'Himalaya, à la frontière entre le Népal et la Chine (région autonome du Tibet).
Plus de 14 000 alpinistes ont tenté l'ascension depuis 1922 et plus de 4 000 l'ont réussie, bien aidés, pour la majorité d'entre eux, par les porteurs sherpas et l'utilisation de bouteilles d'oxygène.
Avec des chiffres pareils, nous ne sommes plus dans de l'alpinisme premières ou exploration mais dans de l'alpinisme tourisme de masse. Je ne critique pas du tout cela, bien au contraire mais je cherche à relativiser ce qui nous a été présenté et "vendu" comme des exploits. Si l'on tient compte du frein que sont et qu'ont été les règlementations, cela permet de relativiser encore plus les "exploits" de faire les quatorze 8000m par les voies normales.
Le démon de l'alpiniste qui a su vendre qu'il était le meilleur alpiniste du XXe siècle est vraiment un rusé. C'est le plus redoutable. Tout est vrai et bien réel. Les ascensions ont bien été faites et sans oxygène en plus. C'est comme pour les lessives ou les pots de chocolat aux noisettes, c'est une question d'emballage et de présentation. C'est en cela que ce démon est le plus habile, pour une raison, c'est le plus intelligent. Je le trouve amusant.
Le démon qui est passé par le trou du voleur.
L’Eiger est un sommet individualisé des Alpes situé entièrement en Suisse dans le massif des Alpes bernoises. Son nom, attesté en 1252, ne signifie pas « ogre », contrairement à une idée reçue, mais plus probablement « grand épieu ». La confusion est due aux alpinistes morts lors de la montée de la face nord : celle-ci, presque totalement verticale ou déversante, est considérée comme la plus impressionnante et la plus célèbre face des Alpes, si ce n'est la plus haute2. Avec les faces nord du Cervin et des Grandes Jorasses, elle a constitué pour l'alpinisme l'un des « trois derniers problèmes des Alpes », et le dernier résolu
L'Eiger est traversé par le tunnel d'un chemin de fer à crémaillère de la compagnie de la Jungfraubahn. Il existe une gare dans la paroi de la face nord, appelée Eigerwand, qui permet d'avoir une vue au sein de la face nord. Le Stollenloch, le "trou du voleur", porte de façon amusante très bien son nom. Situé à plus de 600m dans la face Nord, c'est une ouverture sur la ligne de chemin de fer qui se trouve à l'intérieur de la paroi et mène à l'arête Mittellegi et à la gare sommitale entre la Jungfrau et l'Eiger.
Nous sommes en présence de démons particulièrement habiles qui ont su créer une illusion devant les médias pour "vendre" une trilogie en quelques heures, avec de gros moyens héliportés, télévisions, médias, équipes de soutien, préparation des voies, absence des descentes des sommets, dépôts de matériel. Tout cela... pour nous faire croire à un alpiniste solitaire.
L'astuce c'est de faire croire à un enchainement en continu et comme par hasard, une lampe électrique qui tombe en panne au bon moment. L'Eiger peut se voir depuis la Kleine schweidegg, depuis Grindewald. Une lampe dans une paroi se voit de très loin. Et là tout à coup, le black out. Et l'illusion vendue aux médias pour duper tout le monde. En fait ce solitaire était attendu au trou du voleur. De là, facile de suivre la voie de chemin de fer jusqu'à la gare Eismeer et piquer un bon roupillon au chaud. Reste juste à partir de nuit, rejoindre la sortie de la voie Heckmair de la face nord de l'Eiger, redescendre un peu, c'est facile, et attendre les hélicos et caméras pour faire croire à l'ascension de nuit sous les rayons argent de la Lune.
Une superbe illusion, très bien vendue et tous les médias l'ont gobée. On a vu l'alpiniste dans le bas, on a vu l'alpiniste sortir de la paroi. Un démon très rusé. Le pauvre, il parait qu'il a eu froid dans la nuit sans lampe frontale....
Une escroquerie montée de toute pièce par les fonctionnaires et militaires escrocs du Massif du Mont Blanc qui cumulent public et privé et qui ont bidouillé les lois pour s'octroyer ces pratiques scélérates. Et tous les étés, pendant leur fête, ils nous ont vendu cette illusion.
Ce qui démontre cette escroquerie, c'est que quelques jours plus tard, un autre solitaire, du même niveau technique, s'amuse à faire des déposes et reprises en faces nord à coup d'hélico, le tout filmé, cela va de soit. Il se fait déposer avec son caméraman au Bivouac de la Mort à l'Eiger, juste après le solo de l'autre et surprise, aucunes traces. Et autre surprise, il doit piteusement sortir la corde car visiblement il se fait peur. C'est plus difficile et dangereux que ce que cet alpiniste heli-transporté avait prévu.
Ces versions démoniaques de la "trilogie" toutes héliportées, avec équipes de soutien, médias, préparation, équipements et dépôts dans les voies, viennent toutes de France et ce n'est pas une surprise, de Chamonix. On en compte au moins trois et elles ressemblent à de l'alpinisme comme le canada dry ressemble à un bon whisky. Des "solitaires" bien entourés, surtout de caméras.
Le démon qui a roupillé dans sa 4L
Passons vite, car c'est de très peu d'intérêt. Un démon escroc qui a s'est construit un palmarès a coup de mensonges délirants, tous repris par les médias spécialisés français. Aucune photo. Juste des blablas, couverts par un fonctionnaire français, contrôleur de la profession de guide, couverts par un lieutenant colonel qui dit: tout est certain, circulez il n'y a rien à voir. Et un chantage quasi mafieux dans les médias spécialisés français: ceux qui ont des doutes ne sont que des jaloux. Et cela a fonctionné un temps. Sauf que l'escroc a raconté de plus en plus de bobards. Des photos ont été exigées. Comme il ne pouvait pas en avoir, il est allé en piquer à d'autres alpinistes, d'autres expéditions. Ces photos ont complaisamment été publiées à l'envers par les journaleux français complice de cette escroquerie. Heureusement le vrai propriétaire de ces photos s'en est rendu compte. Ce démon escroc et voleur ne mérite vraiment pas que l'on s'attarde sur son cas.
Les démons criminels de la Vallée de Chamonix
En 1971 deux alpinistes sont victimes d'une tentative d'assassinat en direct, devant les caméras de télévision. Il s'agit de la cordée Desmaison Gousseault en perdition sous le sommet, dans la face nord des Grandes Jorasses. Tout secours leur est refusé au pretexte que les vents sont trop forts pour toute intervention. Rien n'est plus faux car il existe un plateau à l'abri du vent, coté Italien, a plus de 3700m d'altitude. DE là, un secours ne pose pas de problème majeur. L'agonie de cette cordée en direct dure plus d'une semaine. Serge Gousseault meurt et René Desmaison ne sera sauvé que par un hélicoptère venu de Grenoble avec un pilote qui s'est posé au sommet des Grandes Jorasses, pendant que le maire de Chamonix tenait une conférence de presse pour dire que tout secours était impossible à cause du vent. Et les mauvaises langues de dire que de toute façon, cette cordée n'avait pas besoin d'être secourue car elle cherchait à se faire de la pub et que chaque passé là haut leur rapportait beaucoup d'argent!