J'ai toujours aimé les Calanques. Pendant un an, jeune aspirant guide, j'y ai bossé comme prof d'escalade avec jeunesse et sports. C'était sympa. En 1976, j'avais encore les stigmates des terribles gelures au Linceul, lors de l'hivernale solitaire de cette voie. Ces séquelles ne partent pas; c'est à vie. Il reste toujours quelque chose de ces brûlures par le gel. il faut vivre avec. Bon cool, à la retraite, j'adore les petites ballades ou escalades dans les coins perdus. J'aime aussi la pluie, les temps chargés, le vent marin. Les Grandes Jorasses sont loin. Je dis pas...avec les alpinistes on ne sait jamais...