dimanche, juin 28, 2015

Des pierres dans les vitrines.

Cela a commencé dès 1986, façon de me faire comprendre que je devais partir de la vallée de Chamonix. Ma femme était partie, elle ne se sentait pas en sécurité et craignait pour notre fils. Il faut arrêter de croire que nous somme dans un état de droit, c'est de la propagande. Non, nous sommes dans une dictature administrative, il faut payer pour n'avoir ni droit au respect de la propriété privé, ni droit à la protection des biens et des personnes. Je parle de ce qui se passe en réalité, avec des procureurs, des gendarmes, des policiers qui ne prennent pas les plaintes et qui font même pire, se retournent ensuite contre vous parce que vous avez osé porter plainte. Et si vous faites des procédures civiles c'est devant des tribunaux d'escrocs. C'est à cela que l'on peut se rendre compte de la corruption.

Patrice Bodin m'avait mis en garde. A Chamonix, ce sont des voleurs, ils repèrent ce qui marche puis essaient de liquider celui qui a crée cela et reprennent ensuite pour leur compte. Des procédés criminels et mafieux ils faut les appeler par leur nom et couverts par nos ripoublicains, police, justice, armée, etc...qui prennent leurs primes et commissions au passage. C'est impossible de lutter contre des moyens d'état. Il ne faut pas rêver, nous ne sommes pas dans une série télé à l'eau de rose, souvent à la gloire des ripoux d'ailleurs, non, nous sommes face à une réalité qui peut conduire à des assassinats bien réels eux aussi et souvent maquillés. 

Patrice Bodin avait raison, à Chamonix ils ont vu que la première trilogie des trois plus célèbres faces nord des Alpes, Cervin,  Grandes Jorasses, Eiger, m'avait permis de créer une entreprise qui marchait d'enfer. Alors comme m'avait prévenu Patrice Bodin, ce grand guide, ils allaient essayer de m'éliminer et de me voler. Le scénario était visible depuis le début. N'importe quel procureur qui n'aurait pas été un ripoux patenté aurait pu le voir de suite et faire respecter le droit, l'égalité des chances, la propriété, des choses simples. Non, nous sommes dans un système criminel. L'administration française est corrompue et couverte de tous ces crimes impunis, de toutes ses complicités, elle est démoniaque, infestée de démons. 

Donc j'ai eu droit au vol du label première trilogie et à la liquidation et penser que je pouvais lutter contre cette organisation criminelle, une pure illusion. J'ai survécu aux tentatives d'assassinat directes par jet de pierres en montagne ou voitures sabotées. Le reste, c'était de la liquidation à petit feu, ils n'étaient pas pressés, sur leur zone ils pouvaient facilement m'isoler et me spolier le moment venu. Avec le Tribunal de Grande infamie de Bonneville dans la poche, ils pouvaient tout faire. Et personne ne dirait rien. C'est pour cela que j'invite les personnes qui vivent ce que j'ai du vivre à Chamonix, de tout déballer. Internet le permet de nos jours. Les médias quant à eux, sont suspects de complicités.

En 1986, ma femme venait de partir avec notre enfant, pour le protéger, loin de cette vallée criminelle de Chamonix. Je n'étais pas resté longtemps seul. J'avais trouvé une amie super, Quitterie, et je gardais le moral. Je sentais bien que c'était foutu, que cette entreprise était condamnée à Chamonix dans cette vallée fermée et tous ces ripoux qui cumulent public et privé, qui font dans les faux et usages de faux. Je me rendais compte que je bossais pour rien. J'allais tout perdre. Sauf que les voix voulaient voir, les voix voulaient enregistrer. La Justice Athanatique sait observer discrètement. Quoi de mieux qu'un schizo, une vraie boite noire...

Un soir, j'ai dis à Quitterie que je ne voulais pas dormir à la maison. encore ces voix qui me donnaient des infos. Nous sommes allé dormir dans la voiture dans un coin tranquille. Je n'avais pas l'info complète, normal, dans l'Invisible ils voulaient sans doute voir et donc pas empêcher une mauvaise action, juste protéger ma vie. Le lendemain je constatais que les vitrines de ma boutique à Chamonix Sud avaient été explosées avec de grosses pierres. Bon, les voix m'avaient dit de mettre de l'antieffraction et cela avait fonctionné, juste des vitres bisées mais restées infranchissables. Les "coupables" n'ont jamais été retrouvés, ont-ils même été recherchés? L'assurance a marché. C'était une intimidation bien nette.

Quitterie était une jeune femme super. Elle avait envie de construire. Elle s'est vite rendu compte que c'était impossible avec moi, et à Chamonix. Elle est partie et elle a eu raison. Moi je me suis acheté une pipe et j'ai commencé à fumer, histoire de rester zen. Je n'avais pas le choix, c'est les voix qui décidaient.