mardi, juin 26, 2012

Deux fonctionnaires français violaient une loi athanatique qui interdit les cumuls public et privé. Les conséquences ont été mortelles !


Une avalanche a fait cinq morts au sein d'un groupe de randonneurs suisses emmenés par deux guides français dans le nord de la Norvège. L'avalanche s'est produite à environ 1.000 mètres d'altitude en début d'après-midi sur la montagne dite Sorbmegaisa, «montagne très dangereuse» en lapon, dans la municipalité de Kaafjord, selon les autorités. Les avalanches sont chose assez courante en Norvège à cette période de l'année quand les blocs de neige se fragilisent sous les premiers rayons du soleil.

Selon les médias norvégiens, il s'agit de la coulée de neige la plus meurtrière enregistrée en Norvège depuis 1986, lorsqu'une avalanche avait fait 16 morts. Sur les lieux de l'accident, des voix se sont élevées contre le danger pris par l'expédition

«Je ne me serais jamais aventuré dans cette zone», a déclaré Eirik Braein Gikling, un organisateur d'expéditions. Selon la presse norvégienne, la pente sur laquelle se trouvaient les skieurs atteignait jusqu'à 42 degrés alors que le risque d'avalanche était de trois sur une échelle de cinq, un niveau qui, selon les professionnels, devrait limiter les excursions sur des pentes guère plus abruptes que 30 degrés.

Le lieu de l'avalanche, dans le nord de la Norvège. [MARTIN LYNGDAL - Keystone]
Le lieu de l'avalanche, dans le nord de la Norvège.

Le jour du drame

En début d’après-midi, Jérôme Moracchioli, médecin du secours à Chamonix, et guide depuis 2005, encadrait un premier groupe de cinq skieurs dans la descente du Sorbmegaisa. Arrivant d’une crête, son compagnon Thibaud Ribiollet, gendarme sauveteur du PGHM d’Annecy, également titulaire du Brevet d’État de l’Ensa (École nationale de ski et d’alpinisme) suivait avec le reste de l’expédition. À 1000m d’altitude, le deuxième professionnel s’est retourné pour s’assurer de la progression de ses clients, quand l’un d’eux a crié “avalanche” voyant avec stupeur le terrain se dérober sous les skis du groupe de tête. Le guide a alors vu l’onde de la plaque à vent se propager dans cette pente de 30 à 40 degrés, selon les sources. Il mettra son groupe à l’abri sur un épaulement et donnera l’alerte. Las, la masse de neige, énorme selon les témoignages, a enseveli Jérôme Moracchioli et quatre de ses clients sous des épaisseurs de près de 8m. Le cinquième skieur a pu rester debout et maintenir sa tête émergée de la coulée. Il aura la vie sauve.
Décrits comme chevronnés, ces skieurs «ont fait une grosse erreur», a estimé mardi le guide de montagne Graham Austick, qui travaille depuis 2003 dans la région du drame. Un avis confirmé par le spécialiste en avalanches Lien Kjetil Bratt.

Deux guides français qui cumulaient PUBLIC et PRIVE !

Enfin, les deux guides français qui accompagnaient ce groupe étaient des fonctionnaires, agents de l'état ou des militaires, l'un étant un membres du Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) d'Annecy, l'autre du Service mobile d'urgence et de réanimation (SMUR) d'Annecy également. Ce dernier est décédé. Il effectuaient ce raid en Norvège dans le cadre d'une activité privée.





Jérôme, le guide décédé, était ainsi médecin du secours en montagne aux Pays du Mont-Blanc. Rattaché au Centre hospitalier intercommunal Sallanches-Chamonix, ce quadragénaire travaillait régulièrement avec le peloton de gendarmerie de haute montagne de Chamonix. Il accompagnait souvent l’équipe de l’émission Rendez-vous en terre inconnue , animée par Frédéric Lopez sur France 2. «Nous l’avions recruté car c’était un habitué du terrain et une personne capable de supporter des conditions de tournage difficiles», précise une attachée de presse.
Originaire de l'Isère et médecin du secours en montagne dans le massif du Mont-Blanc, Jérôme Morachioli était le guide qui encadrait lundi après-midi le groupe de cinq skieurs suisses emportés par l'avalanche meurtrière survenue dans le nord de la Norvège.
Âgé de 41 ans, son corps sans vie a été retrouvé sous une épaisseur de près de 8 mètres de neige. Quatre de ses clients n'ont pas survécu. Le cinquième resté en surface a pu être sauvé. C'est le deuxième guide encadrant l'autre partie de l'expédition, également secouriste au PGHM d'Annecy, qui a donné l'alerte.
Guide depuis 2005, en tant que médecin, Jérôme Moracchioli a effectué des centaines de secours dans le massif du Mont-Blanc.

Cumuls public -privé, les fonctionnaires français ont modifié les lois de la république à leur seul avantage pour se légaliser une activité lucrative en sus de leur activité principale dans le public. Les conséquences sont « mortelles » car ces fonctionnaires enfreignent une probable « loi athanatique » qui interdit ces cumuls pour deux raisons simples :

  1. Cela contredit le principe d'impartialité que doivent respecter les agents de l'état.
  2. Ces fonctionnaires font de l'abus de position dominante et sont impliqués dans des actes « criminels » d 'élimination de concurrents qui eux sont dans le privé seulement.
Pour bien comprendre, aimeriez vous que le gendarme du coin, le policier, le contrôleur des impôts fasse en sus de son tra vail public une activité privée concurrente de la votre ? Ne serait-il pas enclin à vous « éliminer » et ce d'autant plus facilement que la France n'est qu'une dictature administrative.


L'autre aspect, plus sombre, plus complexe, bien plus difficile à comprendre, c'est les conséquences mortelles des infractions aux lois athanatiques en Vie. Pourtant ce n'est pas nouveau. Les lois de Moïse ne sont par exemple que de sévères mises en gardes sur ces questions et leurs conséquences.


Tous ceux qui enfreignent ce genre de lois (nous le faisons tous, d'une façon ou d'une autre) doivent s'attendre à devoir rendre compte en Non Vie.


La secte jacobine des fonctionnaires français qui manipule les esprits, trafique les lois à son avantage, n'a pas le monopole de la « vérité », il existe d'autres points de vue que leur propagande massive.